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Côte d’Ivoire : mangue, ananas, papaye… pourquoi augmenter la force de transformation locale des fruits

Comment les pertes post-récoltes engendrées par la faiblesse du pouvoir de transformation font défaut à la valeur ajoutée et la compétitivité des produits ivoiriens (bananes, noix de coco, mangues, papayes et ananas).

12 Min Lecture

La banane, l’ananas, la mangue etc. sont quelques-uns des produits essentiels à l’économie ivoirienne. La production annuelle des produits tropicaux avoisine les 260 000 tonnes, selon le Conseil national des exportations (CNE). La filière représente 8% du Produit intérieur brut (PIB) agricole et 2% du PIB national. D’après les données du CNE, la Côte d’Ivoire est le deuxième producteur africain de bananes et le 13e mondial. Avec des parts de marché de 80%, soit 5% du marché européen, l’Union européenne (UE) est le principal destinataire des bananes ivoiriennes.

Pour rendre compétitifs ces produits sur le marché européen, le CNE a organisé le 20 août 2024, un atelier de formation sur la réglementation européenne concernant les fruits tropicaux. L’objectif étant de permettre aux participants (les acteurs clés des chaînes de valeurs de la Stratégie nationale d’exportation, SNE) d’accroître leur niveau d’information et de connaissance sur la réglementation européenne concernant les fruits tropicaux afin de la transmettre aux potentiels exportateurs.

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