A quelles sanctions s’exposent les opérateurs économiques qui commercialisent les huiles végétales raffinées qualifiées de vrac, bafouant ainsi la norme régissant ce secteur d’activité ? La réponse à cette question est contenue dans une correspondance ayant pour objet « prolifération des huiles végétales en vrac dans les marchés », que le ministre camerounais du Commerces, Luc Magloire Mbarga Atangana, vient d’adresser aux opérateurs de la filière, précisément aux responsables des entreprises de la seconde transformation.
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